Vache folle et abeilles : Rudolf Steiner l’avait bien dit !

Rudolf Steiner et la vache folle :

Le 13 janvier 1923, à Dornach en Suisse, Rudolf Steiner, fondateur de l’agriculture biodynamique, de l’anthroposophie et des écoles Waldorf, avait déjà prévenu : »Que se produirait-il si, au lieu de végétaux, le boeuf se mettait à manger de la viande?

Toutes ses forces qui pourraient produire de la chair en lui se trouveraient donc désoeuvrées. La force qui est gaspillée dans le corps de l’animal ne peut pas se dissiper comme ça. Cette force demeure, elle est bien là. Elle agit autrement en lui. Et ce qu’elle fait produit en lui toutes sortes de déchets. Au lieu de chair, ce sont des substances nuisibles qui sont fabriquées. Le boeuf se remplirait donc de toutes les matières nuisibles s’il se mettait soudain à être carnivore. Il se remplirait notamment d’acide urique et d’urate. Or l’urate quant à lui a des habitudes particulières : avoir un faible pour le système nerveux et le cerveau. Si le boeuf mangeait directement de la viande, il en résulterait une sécrétion d’urate en énorme quantité, l’urate irait au cerveau et le boeuf deviendrait fou. »

….extrait des pages 181-182 du livre  » Alimentation et développement spirituel – 8 conférences faites dans différentes villes en 1905, 1909, 1913, 1923  » par Rudolf Steiner, publié en Suisse aux Éditions Anthroposophiques Romandes en 1996.

Rudolf Steiner et les abeilles :

En 1923, Rudolf Steiner annonça l’effondrement des abeilles.
Bien avant Einstein, il condamna fermement l’élevage des reines lors d’un cycle de conférences sur l’abeille qu’il donna aux apiculteurs. Lors de ce cycle de conférences, empreintes de poésie et de perception véritable de la nature de l’abeille, un apiculteur professionnel fit part de son incompréhension totale quant à la condamnation, par Steiner, de l’élevage des reines. Rudolf Steiner insista alors que si on continuait de remplacer les forces organiques à l’oeuvre dans la ruche par des forces mécaniques (dont l’élevage artificiel des reines à partir de larves d’ouvrières) la situation deviendrait très grave pour les abeilles. Il donna rendez-vous à l’apiculteur un siècle plus tard en le prévenant qu’à cette date, si ces pratiques artificielles perduraient, il n’y aurait plus d’élevage de reines, à savoir que les abeilles auraient tout simplement disparu. Il ajouta que la survie de l’humanité dépendait de la survie de l’abeille. Un siècle ne s’est pas encore écoulé, mais l’échéance semble se rapprocher très rapidement. Et elle est peut-être déjà là car dans une autre conférence, Steiner donnait une échéance à 80 ans. Ce qui est maintenant.

 
Source : http://saintefamille.skynetblogs.be

 

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